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PXP est toujours à la recherche de talents et d'influenceurs pour collaborer avec eux et faire grossir la marque. Mais parfois, ce sont les artistes eux-mêmes qui nous envoient de l'amour, comme c'est souvent le cas avec Ghenda. Beatmaker, chanteur, collaborant avec les plus grands, focus sur celui dont vous allez entendre parler dans les prochaines années.
Ghenda, le talent caché
Dans l'histoire du rap français, on a vu passer beaucoup d'artistes considérés comme des hommes de l'ombre mais dont le travail avait une grosse importance et une grosse reconnaissance dans le milieu. Si le public ne les connaît pas, c'est surtout dû en général à un manque d'agressivité dans la communication, mais le talent est bien là. Ghenda fait partie de ceux là. L'artiste originaire de Viry-Châtillon, dans le 91, a de multiples cordes à son arc, puisqu'il s'est surtout fait connaître par ses talents de beatmakers dans un premier temps. Il a notamment bossé sur l'énorme carton que fut « MMM », de Naza, un des cartons de l'année 2017, mais aussi de la suivante, avec la victoire des bleus en coupe du monde, qui ont tous dansé sur l'instru de Ghenda et Binguy, comme en témoignent de nombreuses story sur les réseaux. Encore plus fort, il fait aussi partie de l'équipe derrière l'instru du méga-hit « Comportement », d'Aya Nakamura. Et la liste ne s'arrête pas là : il a bossé sur plusieurs titres de Niska, Keblack, Zola, Sam's, le rappeur acteur de « Validé », Benash, Kalash Criminel, et apparaît même dans les crédits d'écriture d'un morceau de Florent Pagny, « Je veux en voir encore ». Bref, vous l'aurez compris, il a bossé avec tous les grands, ou presque, mais aussi pour plein d'autres rappeurs et artistes moins côtés.
Car Ghenda est avant tout un passionné de musique et de rythmes. C'est sans doute pour ça qu'il a lui aussi voulu passer de l'autre côté du micro et faire ses propres morceaux, et même deux projets solos en 2020 et 2021. Là encore, avec succès. Comme lors de son feat avec Hiro, « Toi et moi on se sait », qui a dépassé le million de vues. Si le travail de ce côté du mic' n'a peut-être pas encore connu de succès énorme, ça ne devrait pas tarder car la qualité est plus que présente, elle est partout. Les instrus sont efficaces, les ambiances, planantes ou très dansantes, sont très réussies, bref un sans faute pour l'artiste du 91. En même temps, c'est normal, le 91 est quasiment devenu la capitale de la musique en France ces dix dernières années. Un bouillonnement culturel a lieu dans ce département, et ça lui a certainement permis de se connecter rapidement avec les gros artistes du coin, comme Niska ou d'autres. Au contact de tous ces grands faiseurs de hits, il a continué à travailler sa musicalité et ses mélodies et aujourd'hui il est un véritable artiste accompli et polyvalent. Rien à envier aux grosses têtes du game, à part peut-être la visibilité.
Mais là encore, Ghenda travaille dessus. Pas trop, car il préfère se concentrer sur la musique, mais il a un compte Instagram à plus de 13 000 abonnés, qu'il alimente régulièrement avec des posts et des story (on y reviendra après). Il fait également beaucoup de remix et de reprises, notamment sur Spotify, avec là encore pas mal de succès. Dans ses vidéos, il travaille de plus en plus le côté visuel, ainsi que le côté vestimentaire, souvent accompagné de ses lunettes de soleil et d'ensembles très stylés. Si au niveau musical, on ressent beaucoup d'influences africaines et des îles (rumba, zumba, raggaeton), au niveau sapes, Ghenda n'hésite pas à se laisser aller à des exubérances à la Kanye West, maître en la matière, ou vers des tenues beaucoup plus ensoleillées. Une polyvalence qui nous plaît beaucoup chez Project X Paris !
Ghenda, le talent caché
Dans l'histoire du rap français, on a vu passer beaucoup d'artistes considérés comme des hommes de l'ombre mais dont le travail avait une grosse importance et une grosse reconnaissance dans le milieu. Si le public ne les connaît pas, c'est surtout dû en général à un manque d'agressivité dans la communication, mais le talent est bien là. Ghenda fait partie de ceux là. L'artiste originaire de Viry-Châtillon, dans le 91, a de multiples cordes à son arc, puisqu'il s'est surtout fait connaître par ses talents de beatmakers dans un premier temps. Il a notamment bossé sur l'énorme carton que fut « MMM », de Naza, un des cartons de l'année 2017, mais aussi de la suivante, avec la victoire des bleus en coupe du monde, qui ont tous dansé sur l'instru de Ghenda et Binguy, comme en témoignent de nombreuses story sur les réseaux. Encore plus fort, il fait aussi partie de l'équipe derrière l'instru du méga-hit « Comportement », d'Aya Nakamura. Et la liste ne s'arrête pas là : il a bossé sur plusieurs titres de Niska, Keblack, Zola, Sam's, le rappeur acteur de « Validé », Benash, Kalash Criminel, et apparaît même dans les crédits d'écriture d'un morceau de Florent Pagny, « Je veux en voir encore ». Bref, vous l'aurez compris, il a bossé avec tous les grands, ou presque, mais aussi pour plein d'autres rappeurs et artistes moins côtés.
Car Ghenda est avant tout un passionné de musique et de rythmes. C'est sans doute pour ça qu'il a lui aussi voulu passer de l'autre côté du micro et faire ses propres morceaux, et même deux projets solos en 2020 et 2021. Là encore, avec succès. Comme lors de son feat avec Hiro, « Toi et moi on se sait », qui a dépassé le million de vues. Si le travail de ce côté du mic' n'a peut-être pas encore connu de succès énorme, ça ne devrait pas tarder car la qualité est plus que présente, elle est partout. Les instrus sont efficaces, les ambiances, planantes ou très dansantes, sont très réussies, bref un sans faute pour l'artiste du 91. En même temps, c'est normal, le 91 est quasiment devenu la capitale de la musique en France ces dix dernières années. Un bouillonnement culturel a lieu dans ce département, et ça lui a certainement permis de se connecter rapidement avec les gros artistes du coin, comme Niska ou d'autres. Au contact de tous ces grands faiseurs de hits, il a continué à travailler sa musicalité et ses mélodies et aujourd'hui il est un véritable artiste accompli et polyvalent. Rien à envier aux grosses têtes du game, à part peut-être la visibilité.
Mais là encore, Ghenda travaille dessus. Pas trop, car il préfère se concentrer sur la musique, mais il a un compte Instagram à plus de 13 000 abonnés, qu'il alimente régulièrement avec des posts et des story (on y reviendra après). Il fait également beaucoup de remix et de reprises, notamment sur Spotify, avec là encore pas mal de succès. Dans ses vidéos, il travaille de plus en plus le côté visuel, ainsi que le côté vestimentaire, souvent accompagné de ses lunettes de soleil et d'ensembles très stylés. Si au niveau musical, on ressent beaucoup d'influences africaines et des îles (rumba, zumba, raggaeton), au niveau sapes, Ghenda n'hésite pas à se laisser aller à des exubérances à la Kanye West, maître en la matière, ou vers des tenues beaucoup plus ensoleillées. Une polyvalence qui nous plaît beaucoup chez Project X Paris !
Ghenda & PXP, le grand amour
Car il faut savoir qu'on a également pas mal bossé avec lui. Notamment lors de nos soirées d'inauguration ou nos special events, où il était souvent en charge de l'ambiance en tant que DJ, et là encore, il assurait évidemment. Pour ça on le remercie, mais aussi pour toutes les fois où il nous a envoyé de la force par les réseaux, en postant des photos ou des vidéos dans lesquelles il porte des pièces Project X. Ou même dans ses clips : dans l vidéo de « LOSSA », en 2020, il portait une ancienne veste de notre collection « Graffiti », toujours dispo et réactualisée depuis. Un modèle bien street, pour un morceau qui a l'air assez doux mais avec des paroles qui ne parlent que de rue et de fast life. Un aspect de la personnalité de Ghenda à ne pas négliger, comme pour tous les vrais gars du 91. Autre pièce indispensable pour une panoplie streetwear de l'hiver réussie, la doudoune. Là encore, il a fait le choix le plus original, avec la doudoune PXP réfléchissante et matelassée, pour le clip de « Parlons peu parlons bien ».
En fait, on est souvent présent dans ses vidéos, comme pour le clip de « Dope », un de ses meilleurs titres, où il s'habille dès le début de la vidéo en mettant une veste Project X Paris par dessus un t-shirt PXP. La veste fait d'ailleurs partie d'un ensemble au coloris « bleu / nuages » qui lui va très bien, avec ses lunettes de soleil, toujours, et sa coupe bien élaborée. Ghenda a de l'allure, il le sait et il aime en jouer, un trait de personnalité qu'on est désormais quasiment obligé d'avoir dans le rap français aujourd'hui. L'époque où tout le monde avait le même survêtement Tacchini et la même casquette est révolue, chaque artiste doit avoir son style, car l'image est trop importante, beaucoup plus présente qu'auparavant.
On tenait absolument à faire ce petit focus sur Ghenda, qui est un grand artiste du mouvement urbain en France dont le travail mériterait à être plus connu. Notre rôle chez PXP ne peut pas se limiter à collaborer avec des artistes au sommet de leur buzz, on est aussi dans l'obligation de vous faire découvrir les nouveaux talents qui passent sous nos yeux, et clairement, c'en est un ! On lui souhaite évidemment le meilleur pour la suite, en espérant le revoir très vite évidemment à l'une de nos soirées d'inauguration, où sa présence est synonyme de très bon son en général !
Ghenda & PXP, le grand amour
Car il faut savoir qu'on a également pas mal bossé avec lui. Notamment lors de nos soirées d'inauguration ou nos special events, où il était souvent en charge de l'ambiance en tant que DJ, et là encore, il assurait évidemment. Pour ça on le remercie, mais aussi pour toutes les fois où il nous a envoyé de la force par les réseaux, en postant des photos ou des vidéos dans lesquelles il porte des pièces Project X. Ou même dans ses clips : dans l vidéo de « LOSSA », en 2020, il portait une ancienne veste de notre collection « Graffiti », toujours dispo et réactualisée depuis. Un modèle bien street, pour un morceau qui a l'air assez doux mais avec des paroles qui ne parlent que de rue et de fast life. Un aspect de la personnalité de Ghenda à ne pas négliger, comme pour tous les vrais gars du 91. Autre pièce indispensable pour une panoplie streetwear de l'hiver réussie, la doudoune. Là encore, il a fait le choix le plus original, avec la doudoune PXP réfléchissante et matelassée, pour le clip de « Parlons peu parlons bien ».
En fait, on est souvent présent dans ses vidéos, comme pour le clip de « Dope », un de ses meilleurs titres, où il s'habille dès le début de la vidéo en mettant une veste Project X Paris par dessus un t-shirt PXP. La veste fait d'ailleurs partie d'un ensemble au coloris « bleu / nuages » qui lui va très bien, avec ses lunettes de soleil, toujours, et sa coupe bien élaborée. Ghenda a de l'allure, il le sait et il aime en jouer, un trait de personnalité qu'on est désormais quasiment obligé d'avoir dans le rap français aujourd'hui. L'époque où tout le monde avait le même survêtement Tacchini et la même casquette est révolue, chaque artiste doit avoir son style, car l'image est trop importante, beaucoup plus présente qu'auparavant.
On tenait absolument à faire ce petit focus sur Ghenda, qui est un grand artiste du mouvement urbain en France dont le travail mériterait à être plus connu. Notre rôle chez PXP ne peut pas se limiter à collaborer avec des artistes au sommet de leur buzz, on est aussi dans l'obligation de vous faire découvrir les nouveaux talents qui passent sous nos yeux, et clairement, c'en est un ! On lui souhaite évidemment le meilleur pour la suite, en espérant le revoir très vite évidemment à l'une de nos soirées d'inauguration, où sa présence est synonyme de très bon son en général !